• La soirée des talents de l’ADAMI à la Ferme de Villefavard’ - Steeve Boscardin écrit dans le magazine Res Musica le 31 juillet 2024.

    « (…) une langueur et une tendresse à décongeler la banquise

    Première flûte solo de l'Orchestre de l'Opéra de Paris depuis 2023, Iris Daverio présente la Romance pour flute et piano de Camille Saint-Saëns, pièce à laquelle elle confère, grâce à un souffle bien maîtrisé, une langueur et une tendresse à décongeler la banquise. Elle reviendra plus tard avec une suite de Casse-Noisette de Tchaïkovski qui souligne davantage la clarté et la précision des notes dans une interprétation ludique et attendrissante.. (…) Au Festival du Haut Limousin, quand on allie une programmation originale qui permet de passer une excellente soirée avec de jeunes artistes et un lieu de partage à l'atmosphère détendue, on peut parler de démocratisation de la musique classique. »

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  • A Fresh Voice in a Beloved Classic: Iris Daverio Performs Chaminade’s Concertino’, article du magazine en ligne Flute Almanac, 16 juillet 2025.

    « (…) Her presence on stage is marked by elegance, poise, and a rare ability to let the music speak

    – never overstated, never underplayed. Her sound in this performance was luminous, warm, and fluidly expressive, capturing the French charm and lyricism of Chaminade’s writing with apparent ease.

    From the first phrases, Daverio demonstrated a nuanced approach to phrasing that felt both deeply considered and refreshingly natural. There was no sense of forced rubato or excessive emotional weight. Instead, her interpretation radiated an inner joy and stylistic clarity that revealed her deep understanding of the repertoire – and her own voice within it. (…) This rendition stood out not only for its exceptional artistry but also for the inclusion of a new cadenza by composer Élise Bertrand. »

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    Lien de la vidéo Concertino de Chaminade par Iris Daverio (Salle Gaveau, novembre 2024), Cadence de la compositrice Elise Bertrand, Marc Korowitch dirige l’orchestre Colonne.

  • « Iris Daverio, le souffle d’une virtuose » article Whos’s Who (Cécile Hellouin de Ménibus) 14/05/2025

« (…) À la conquête du monde

L'année 2024 marque un tournant : elle fait ses débuts en soliste à la salle Gaveau à Paris, une étape prestigieuse dans son ascension fulgurante. Mais l'horizon s'ouvre plus largement encore. En 2025, son calendrier se densifie, jalonné de concerts en France et à l'international. Le Japon, terre d'exigence et de raffinement, l'accueille pour une grande tournée, avant qu'elle ne s'envole pour le Monténégro, où elle se présente aux côtés de l'Orchestre symphonique monténégrin, dirigé par Marc Korovitch. 

Et déjà, un autre projet se dessine. Son tout premier disque, verra le jour au printemps 2026 sous le label Oktav Records. Un enregistrement attendu, promesse d'un voyage où la pureté du son épouse la liberté du vent, dans l'éclat singulier d'une artiste en pleine ascension. »

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  • Magazine Diapason - Erwan Gentric écrit le 11 décembre 2024 à propos de la Suite n°2 de Daphnis et Chloé au concert à la Philharmonie de Paris de l’orchestre de l’opéra de Paris dirigé par Teodor Currentzis le 9 décembre 2024:

« Dans l’envoûtante Pantomime, on ne sait plus qui de Currentzis ou de la flûte d’Iris Daverio est charmeur ou serpent. »

© Nadia Romanova

  • La flûte enchantée d’Iris Daverio’, article du magazine La Traversière, n°151, 4ème trimestre 2024

    Rubrique jeune talent.

  • Journal Le Figaro,

    20 septembre 2024 (Christian Merlin)

“L’unité collective impressionne autant que la virtuosité, du basson de Théo Sarazin à la flûte d’Iris Daverio.”

Titre de l’article : “Une rentrée à la hauteur pour les orchestres de la Capitale”

Shostakovitch, symphonie n°4, Philharmonie de Paris. Direction : Tugan Sokhiev. Orchestre de l’Opéra national de Paris. 13/09/2024.

Capture photo effectuée depuis Paris Opéra Play

https://play.operadeparis.fr/

  • Magazine Madame Figaro

    (Laetitia Cénac)

  • Magazine Diapason

    (Benois Fauchet)

“ Fin janvier [2023], à vingt-deux ans, Iris Daverio devançait une centaine de concurents au concours de flûte solo de l’Orchestre de l’Opéra de Paris. Les observateurs vont finir par croire que le poste sourit aux jeunes femmes prodiges : Catherine Cantin, dernière titulaire, n’avait pas vingt ans quand elle y a été nommée…

Après une précédente tentative infructueuse, aguerrie par deux sessions d’été de soliste au sein du Gustav Mahler Jugendorchester, Iris Daverio accomplit un “rêve” caressé depuis l’enfance : travailler à l’Opéra de Paris. Du domicile familiale, la fillette apercevait le grand vaisseau de Bastille, où elle est ensuite aller applaudir nombre de productions lyriques et de ballets. Flûtiste dès l’âge de six ans, elle a été guidée dans son apprentissage par deux grand musiciens d’orchestre de fosse. D’abord Frédéric Chatoux au conservatoire de la rue de Madrid, son mentor dont elle est désormais la collègue - lui flûte solo de l’équipe “bleue”, l’une des deux phalanges composant l’orchestre, elle chez les “verts”. Puis Julien Beaudiment, flûte solo à l’Opéra de Lyon, auprès de qui elle poursuit toujours un master. “Ce n’est pas parce que je suis en poste que je n’ai plus rien à apprendre ! Et il est la meilleure personne à qui parler d’un début de carrière dans une maison d’opéra.”

Au CNSM de la capitale des Gaules, Iris Daverio poursuit un autre master, en musique de chambre, avec l’Ensemble Daphnis qu’elle anime avec une autre flûtiste, un altiste, un violoncelliste et deux pianistes. Après les Tableaux d’une Exposition de Moussorgski, le groupe nourrit autour de Rachmaninov un nouveau projet de spectacle à la fois sonore et visuel, pour tenter de “transmettre la musique autrement”. Mais naturellement, son métier de musicienne d’orchestre primera sur tout autre engagement. Son contrat à peine commencé (le 30 mars), Iris Daverio se produira le 8 avril à la Philharmonie de Paris, lors d’un concert symphonique dirigé par Gustavo Dudamel. La première de nombreuses apparitions, sur scène et surtout en fosse. Souhaitons-lui la longévité de sa devancière, en poste durant quatre décennies et demie ! ”

  • Journal Le Figaro - 10 révélations classique 2023 (Thierry Hilleriteau)

“ Petite, elle habitait rue Traversière, à Paris, cernée par des magasins de musique. A 23 ans, celle qui s’est vue nommer il y a quelques semaines première flûte solo à l’Opéra National de Paris illustre à merveille me renouveau de l’école française de la flûte dont elle est avec plusieurs de ses collèges l’une des figures les plus prometteuses. C’est à l’âge de 6 ans qu’elle a débuté l’instrument, après avoir entendu un conte musical où une fée libérait des notes de musique en jouant de la flûte. Elle a très vite su qu’elle voudrait en faire son métier, à condition de le vivre dans un esprit de troupe. Un rêve que cette ancienne du CNSM de Lyon cultive au sein de l’atypique quintette Daphnis , qu’elle a crée. Pratiquant d’art de la transcription des grands standards du répertoire symphonique ou lyrique, ce dernier est à l’origine d’un festival en Touraine : le Festival Daphnis. ”

  • Portrait dans le Journal du Soir de Radio Classique 

    (Thierry Hilleriteau) : écoutez à 25:00 minutes